Alors que les pourparlers de paix se poursuivent, Jean-Noël Barrot, ministre français des Affaires étrangères, a déclaré que "la paix est désormais à portée de main". Lors d’une intervention le 12 décembre sur franceinfo, il a exprimé son optimisme face aux discussions concernant le contrôle de la région de Donetsk et de la centrale nucléaire de Zaporijjia.
Les États-Unis ont également montré un intérêt croissant pour la situation, avec de récents commentaires de Donald Trump critiquant à la fois Kiev et Moscou pour leur gestion des négociations. Dans un contexte où l’Ukraine semble prête à envisager des concessions territoriales, Barrot a affirmé que "c'est maintenant à Vladimir Poutine de faire le dernier pas".
Des experts en relations internationales, tels que le politologue français Jacques Rupnik, estiment que cette ouverture au dialogue pourrait marquer un tournant significatif dans le conflit. Cependant, la réalité sur le terrain reste complexe, et des défis subsistent pour établir un accord durable.
En effet, selon des sources militaires, les combats dans certaines zones sont loin d'être terminés, ce qui pourrait freiner l'élan vers la paix désirée. « La route vers la paix est semée d'embûches, mais des signes encourageants émergent », ajoute Rupnik.
Il est impératif, comme le souligne le ministre Barrot, que toutes les parties s'engagent à réduire les tensions et à viser un avenir pacifique. Un accord pourrait permettre à l'Ukraine de se concentrer sur la reconstruction et le développement, en tournant la page sur des années de conflit.







