Le 6 décembre 2025, une jeune femme verra son destin transformé en accédant au titre de Miss France 2026. Alors que 30 candidates régionales se préparent à ce moment décisif, beaucoup espèrent éviter le sort d'Angélique Angarni-Philoppon, Miss France 2025, qui a dû faire face à un torrent de critiques.
La lauréate de 34 ans a été la cible de propos haineux et racistes dès le début de son mandat. Angélique a même évoqué son envie d'abandonner, soulignant que "n'importe qui à ma place aurait voulu tout abandonner". Ce climat de tension a alarmé la société Miss France, qui a décidé de renforcer le soutien pour les futures candidates.
Pour l'édition 2026, un système de "marrainage" a été mis en place : une ancienne lauréate, Camille Cerf, Miss France 2015, va accompagner la nouvelle gagnante dans les méandres des médias, qu'ils soient positifs ou négatifs.
Dans ce contexte délicat, Jean-Pierre Foucault, emblématique présentateur du concours depuis 30 ans, s'est exprimé avec force sur RTL. Il a déclaré : "La bienveillance est indispensable. Je ne supporte pas les commentaires de personnes qui, souvent, ne connaissent même pas Miss France, mais se permettent de juger. Cette émission doit être un espace de bienveillance". ()
Selon de nombreux observateurs de l'événement, ces paroles visent à promouvoir un climat plus sain autour de la sélection, un enjeu qui prend une ampleur considérable dans le contexte actuel où les discussions sur le respect et la diplomatie sont plus importantes que jamais.
Espérons que ces changements contribueront à redéfinir l'image du concours et à permettre aux futures Miss France d'évoluer dans un climat plus serein et chaleureux.







